Le château de Mouthe
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 [Autobiographie] Cesars de la Tour Saint-Arnault

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Loicisdumb
grand petit comte
Loicisdumb


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MessageSujet: [Autobiographie] Cesars de la Tour Saint-Arnault   [Autobiographie] Cesars de la Tour Saint-Arnault EmptySam 7 Oct - 15:54

Copie de l'oeuvre se trouvant à l'université impériale.

Citation :
Cesars de la Tour Saint-Arnault : sa vie, son oeuvre, sa pensé

Chapitre I : La naissance et l'éducation de Cesars

Le 23 octobre 1395, Cesars naissait dans une famille de la noblesse de Tourraine chez les "De la Tour Saint Arnault" . Cette dernière du abondonner Cesars, car il était muet jusqu'à l'âge de 3 ans et à cause de la guerre de 100 ans, dans une abbaye bénédictines l'abbaye du Val des Choux en Bourgogne. Son éducation était assuré par le Père Abbé Benoit qui lui apprit à lire, écrire, compter. A 8 ans le jeune enfant, doué en mathémathique, parti dans une autre abbaye près de Recey sur Ource dans le plateau de Langres. Là bas on lui apprit l'Histoire, le latin, le grec, l'héraldique, la géographie et l'allemand mais pas l'anglais pour une bonne raison : la France était en guerre contre la perfide Albion. Il continua à apprendre les mathématiques.
Alors que Cesars n'avait que 13 ans l'abbaye fut complètement détruite par des archers anglais aidé par des catapultes et ce sous ces yeux. Il jura de vivre jusqu'à ce que les Anglais soit bouter hors de son pays, de sa patrie : la France. Il se refugia quelque temps dans l'Eglise Saint Rémi de Recey sur Ource ou le curé lui expliqua la signifiquation de tout les tableau et de tout les vitrailles. Un tableau, tout particuliairement, l'interressa : une copie du tableau du sacre de Clovis. Le prêtre lui dit : "Cesars voit cette Homme, c'est le fondateur de notre patrie que les anglais détruissent". Cesars réfléchit durant une semaine à ces mots et se souvient du Père Abbé Benoit et décida d'y retourner.
Au bout de cinq heures de marche sans arret Cesars y arriva, voyant des soldats il se demanda si le désastre de l'abbaye de Recey n'était pas assez et courru pour essaye les dissuader de commettre un autre crime. Le voyant arrive le Père Abbé Benoit lui dit :
"Cesars, j'avait peur qu'il ne te soit arriver malheur à Recey, heureusement tu est sain et sauf. J'ai eu très peur en apprenant que l'abbaye dans laquelle je t'avait mis avait été détruite"
Cesars répondit :
"Qui sont ces gens ?"
"Des hospitaliers et des soldats royale, le Roy de France nous les as envoyé pour nous gardez en vie. Tu ne doit pas rester là, les anglais vont arriver, prend ce cheval et va jusqu'à Sens dans la cathédrale, là bas t'attend l'archevèque, je lui aie parlé de toi vous irez à Rome ensemble, tu pourras y apprendre le latin, les maths, l'histoire et la géographie. Allez part, pour qu'il ne t'arrive rien le chevalier Henry ira avec toi à Sens."
Cesars parti alors avec le chevalier Henry.


Chapitre II : De Sens à Rome

"200 Km de route" telle fut les mots du chevalier Henri. Les cavaliers passèrent en premier lieux par Recey pour que Cesars disse Adieu au Prêtre et qu'il prenne ces affaires. Le chemin fut sans embuche jusqu'à Leuglay où les Anglais avait installer un péage frontière. Ils durent contourner par Lucey, Faverolles-les-Lucey, La Chaume, Louesme, Vilote sur Ource. Une fois à Châtillon-Sur-Seine ils durent finir la journée de marche car c'était la seul ville au alentour tenu par le Roy de France et ou il ne serait pas inquièté. Le lendemain, envers 4 heure du matin, ils reprirent la route. Au bout de plusieurs jour ils arrivèrent à Bar-sur-Seine mais là bas, ils durent combattre au côté des Francais pour récupérer la ville au main des Bourgignions. Le combat fut terrible, il se soldat par la mort du chevalier Henry et part la fuite de Cesars. Une fois arriver Sens, l'Archevèque l'aceuillit avec une multitude de question sur le Père Abbé Benoit, l'abbaye de Recey et sur tout le reste. Quatre heures plus tard, Cesars et l'Archevèque partirent pour Rome.

Malgré tout ce que put imaginer Cesars, la route fut assez calme en effet les soldats anglais laissèrent passer l'homme d'Eglise et ce qu'il pensait être son vicaire. Durant le voyage, l'archevèque de Sens apprit à Cesars l'histoire des ville parcouru et leur fondation mais surtout il lui expliqua en long et en larg, plusieurs fois, l'origine de cette guerre que Cesars allait connaitre durant la majorité de sa vie. Une fois à Rome c'était avec le Pape en personne qu'il put discutter de théologie et malgré son jeune âge, il semblait relativement à laisse même s'il ne cromprennait pas tout, comme disait le pape, "c'est digne d'un futur cardinal". Le pape demanda à l'archevèque pourquoi il avait emmener Cesars avec lui ? Etait-ce pour lui donner une tache quelqu'on que dans l'armée ? Non, il était trop jeune. L'archevèque lui expliqua son parcour, sa vie et l'objectif du Père Abbé Benoit : le voir devenir un savant théologien, mathématien de surcroix. Le pape offrit à Cesars le droit d'être éduquer dans une grande école religieuse de Rome et en même tant dans dans une petite école qui apprenait l'histoire et la géographie.

Chapitre III : Les études de Cesars

En l'an 1409, Cesars avait 14 ans et commencait ces études à Rome dans l'école papale. Très vite, aider par son niveau élevé, c'était à lui que fut donner la tache d'enseigner les mathématiques, parmi ces élèves certains avait trois ou quatre fois son âge mais cela importait peu. Ce passionnant pour l'histoire il put écrire à 15 ans seulement un codex traitant des titres de noblesse française et de Charlemange qui comtaient dans les meilleurs de l'époque. La géographie et la cartographie lui permirent de dessiner une carte des évèchés de France très précise. Grâce de savant calcul mathématique et grâce à ses connaisance tant historique que géographique il mis au point un traité d'économie traitant du métier de tavernier. Cesars écrit plus tard un receuille de prière. Il fut aussi reconnu comme un érivant dont le texte était souvent entaché de faute mais cela lui permis d'intégrer la confrérie des troubadours.
En 1415, à l'âge de 20 ans et après 6 années passé à apprendre le latin, l'allemand, le grec, l'histoire, la religion, la géographie/cartographie il dut partir de Rome, chassé par le nouveau pape. Durant ces 6 annés, pour gagner quelque écus il mis à profit ses talents d'héraldologue en fabriquant des blasons pour les familles riches et pour complèter les périodes dur il dut faire interprêtre allemand au près des seigneurs. Il était obliger de faire cela car même s'il a écrit quelques livres, le pape lui avait confisquer ses revenus et l'école dans laquel il enseignait les mathématiques lui avait échanger des cours qu'il dispenssait contre des cours qu'il suivait.
Il partit donc à Constantinople par bateau. Une fois là bas, il continua des études d'histoire mais cette fois si d'histoire byzantine et continua d'après les mathématiques. Il fit, à l'université, une rencontre qui changea sa vie ; il fit la connaissance du patriarche de Constantinople. Tout deux entretenait de bonne relation, Cesars lui fit connaitre les enseignements catholiques et le patriarches lui enseigants la religion orthodoxe. Mais l'Empereur fit tué le patriarche pour mettre à la tête de l'Eglise d'Orient son frère. Cesars resta à Constantinople, croyant que le patriarche, son ami, été mort de causes naturelles, pour apprendre le slave et l'hébreux. Cesars continua à gagner sa vie en fabriquant des blasons pour les nobles et donnant quelque cours à la noble byznatine de mathématiques et parfois en balayant une partie de la basilique Sainte Sophie. Un autre ami, un tavernier qui tenait l'auberge de la basilique, lui avait prêté une petite pièce d'une dizaine de mètre carré sans le moindre confort qu'il devait partager avec une vache qui lui donnait du lait et de la chaleur en hiver.

Chapitre IV : Cesars receuille Turenne et Aragoth

Malheureusement son frère mourrut lors d'une bataille et Cesars dut receuillir les fils de son frère. Il ne savait comment si prendre car il avait recu une éducation religieuse. Il rentra en France à Aubigny.
Cesars connaisait très bien le père abbé de l'abbaye de Cluny, il y passa Aragoth le second. Il dut enseigner tous enseigner et faire enseigner à Turenne. La mère de Turenne et Aragoth était devenu folle.
Après quelque jours à Aubigny, il découvrit le testatment du père de Aragoth et Turenne. Ce dernier dissait que Cesars héritait d'Etretat et d'Héricourt mais que Turenne devait prendre le titre de marquis d'Aubigny. Cesars en était fort heureux, cela lui permettait d'avoir des terres en France et dans le Saint-Empire.
Cesars éleva Turenne comme son propre fils mais avait du laisser Aragoth à l'abbaye comme le voulait son père.
Les années passèrent et au bout de quelque temps, Turenne, devenu majeur, prit le "controlle" de son titre de marquis sans savoir que son père l'avait déshérité d'Etretat et d'Héricourt au profit de Cesars.
Quelques années plut tard, Aragoth eu 17 ans et voulu partir vivre en hermine dans un désert en Arabie, Cesars le laissa faire mais essaye tout de même de le convaincre de ne pas le faire.

Chapitre V : la vie Bertincourienne

Alors que Cesars arriva à Bertincourt en novembre 1450 mais prit de folie il partie dans la ville, personne ne sais comment mais il prit d'assaut la mairie des main de Benjy. Cesars ne resta mairie que deux-trois le temps que les villageois se révolte contre lui. Cesars, cumulant les écus, put acheter un champ au comté d'Artois. Quelque mois après avoir pris la mairie d'assaut Cesars se présenta au municipale, 5 candidat se présentèrent : Cesars, Romaric, Jeanot, Maxaris et ForceJaune. Maxaris fut élu dès le premier tour car sont principale concurent, Romaric, s'était retiré de la course. Cesars obtenu 2,6% des voix et la dernière place. Il faut dire que le programme de Cesars était peu élaboré et mal fait. La carrière politique de Cesars était lancé. Cesars fit tout de même une rencontre, Lylle qui avait crée le LAUD (Ligue pour un Artois Unis et Démocratique). En effet l'Artois venait d'être diffissé en deux : l'Artois, avec comme capitale Arras et avec comme comte Lévan, et la Champagne, avec comme capitale Reims avec comme duc LJS.
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MessageSujet: Re: [Autobiographie] Cesars de la Tour Saint-Arnault   [Autobiographie] Cesars de la Tour Saint-Arnault EmptySam 7 Oct - 15:54

Citation :
Chapitre VI : Une nouvelle vie d'érance jusqu'à Fécamp et la Normandie

Cesars était parfaitement rétablit. Alors qu'on lui annoncait que de nouvelle province venait d'être reconquérit par Charles VII, Roy de France, il partit les découvrires. Il habitat consécutivement Langres, Dieppe, Troyes, Bayeux, Honfleur, Sémur, Tonerre. Il s'installa finalement à Fécamp.

Cesars fut bien acceuillit, il y construisit même une taverne la première de l'histoire de Fécamp. Il fonda le syndicat des taverniers. Il devient ami avec Zairi, le mairie, qui cultivait comme lui les légumes. Mais suite à une revente abussive de carcasse de vache à la mairie, le mairie décida de mettre des impots pour tout le monde mais inégale ; ainsi les éleveurs de vache payèrent 50 écus par champs contre seulment 15 pour les maraichers. Il fut critiquer, notemment par un dénommé Petitsuisse. Zairi connut plusieurs tentative de prise de la mairie mais sans succès il y resta. Mais c'est un peu plus tard qu'il parti à Calais laissant dèrrière lui Fécamp. Pourquoi est-ce que je vous raconte ca ? Car ca fait partit intégrante de l'histoire de la ville du coeur de Cesars : Fécamp.

La mairie ne fut jamais s'attabilisser, si bien que les finances était à zéro. Cesars décida de remonter le morale des troupes en construissant une école : l'école de Fécamp pour tout les habitants de Fécamp, avec une belle bibliothèque et de belle salle de cour ainsi que la cathédrale : Notre Dame de Normandie. Grace à elle, Cesars put intégrer les doyens de l'université royale, dirigé par FrèreNico. Très vite l'école acceuilla aussi les archives municipale ainsi que la SDF : Soule De Fécamp.

Le pape qui savait que Cesars avait fait de long étude un peu partout en Europe, qu'il avait longtemps été Père Abbé d'une grande abbaye et qu'il venait d'intégrer l'ordre des Bénédictins dont il avait écrit les règles, le contacta pour qu'il construisse l'Eglise, Cesars saivait bien que seul il ne pouvait rien, il contactait donc FrèreNico, reconstrusteur de l'ordre des Franciscains, pour l'aider. Cesars demanda au pape des salles dans son palais pour l'Eglise, il les lui accorda une salle pour la Curie, une par congrégations, une par évèques (pour faire leur bureau). Avec FrèreNico et l'accord du pape ils nommèrent la Curie : 11 cardinaux, des Franciscains, des bénédictins, des membres de l'ordre de Saint Marc, des indépendants... Pour ne siter que les meilleurs Marcus, Breizh, Caedes, Jarkov, FrèreNico et biensur Cesars. Après ca, la Curie et le pape se penchèrent sur la nommination des évèques et archevèques. Cesars fut nommé archevèque de Rouen. Une première bulle papale écrite par FrèreNico, devenue chancelier papale, fut publier.
Il commencais à nommer les prêtres : Damien, aujourd'hui archevèque de Rouen, pour Lisieux, Marman pour Avranches, FrèreNorv l'aida à Dieppe, ou le phookaïsme (une secte) avait beaucoup d'importance. Malgré tous ca le chateau de Rouen fut prit d'assaut par des Arthésiens. Après 5 jours de bataille le Roy les expulsa. La Normandie devenait domaine Royal mais Phooka notre duc était mort, le Roy organissat des élections pour choisir le nouveau conseil ducal et le nouveau duc. Après avoir fait ami-ami avec Melwinger qui le lachat, il alla sur une liste composé notemment de BJB, Kalagne. Ce dernier lui fit découvrir le PARS (Le Parti pour l'Action et la Réforme de la Société) .Cesars se fit élire au conseil Normand. Le duc Helric, un hérétique-alcoolique jusqu'au dernier jours de sa vie ou il devient juste alcoolique, le nomma connétable.

Mais le pape décida une croissade contre l'hérétique Normande. Ne voulant choisir entre la Normandie et l'Eglise, entre le peuple et Dieu, il choisit de quitter son poste de connétable. On ne lui en tenue riqueur dans aucun des deux camps. La croissade, suite à des négociations et au traité de Normandie, n'eu pas lieu. Cesars devient prévot temporaire pour remplacer Hellbrother.

Après tout ces évènements, le Roy décida, à nouveau, de faire des élections pour choisir un nouveau duc et un nouveau conseil ducale. Cesars créa une liste mais dans les derniers jours ont le lacha. Helric après sa conversion, mourrut après avoir bu les réserves du chateau en alcool. Cesars parti m'exiler quelque temps à Rieux. Mais avant de partir il avait construit une abbaye : l'abbaye Normande mais elle ne connu aucun succès. Il écrit aussi une chronologie des archevèques de Rouen ainsi qu'une biographie de notre bon Roy Charles VII

Chapitre VII : La Franche-Comté, un renouveau
On annonca à Cesars que la Saint-Empereur avait décidé de peuplé la Franche-Comté. Il y couru. Volpone, un ancien cardinal devenu son ami, en était le comte. Mais l'Empereur choisit un nouveau comte ... enfin ... laissa le peuple Comtois choisir un nouveau comte et une équipe comtale. Il créa une liste, il fut élu. Le duc Hellbrother, qu'il avait connu en Normandie, le nomma connétable, fonction que'il avait déjà exercer en Normandie.
Le pape le nomma chef des armées papale et des renseignements.
Le 25 octobre 1453, Cesars devient un étudiant dans l'université de Franc-Comtoise. Il donna le jour même un cours de latin qui lui rapporta 50 écus, ces élèves étaient des personnes importants : Volpone, Hellbrother,...
De nouveau élu, la comtesse TK nomma Cesars au poste de bailli et donc des mines. A cause d'une sous production de fer Cesars du fermer la mine d'or.
Dans le même temps, Cesars voulu créer une équipe de soule mais pour cause de sous nombre cette derniere ne se fut pas.
Plus tard le Pape Nicolas V demanda à Cesars d'aller precher dans le Saint-Empire germanophone.
De retour en Franche-Comté et à Vesoul il créa de nouveau une taverne.
Il continua a amélioré la mine de fer, pour que, bientot, la Franche-Comté puisse se suffir à elle même.
Le pape Nicolas V mourrut à la suite, dit-on, d'un repas houleux avec le Roy de France Levan III. Il fallait élir un nouveau pape, le Roy imposa de force Eugène V. Ce dernier nomma Cesars archevèque métropolitain de Besançon le 12 décembre 1453.
Le 2 février 1454, Cesars fut nommer Primat du SERG par la Curie.
Le 15 du même mois Cesars devenait hérault de Baden dont le comte Césarion était un ami
Le 16 février 1454, Cesars, faissant parti de l'équipe de soule Franc-Comtoise, avait participé à un match mais pas n'importe quel match le premier match de soule inter-ducal mais en plus il était dans l'équipe victorieuse.
Après avoir végéter quelque à la Diète, Cesars fut nommé à la CSI (Cour Suprême Impériale) mais il démissiona par manque de temps.

Chapitre VII : Des Saintes-Armées
Cesars se consacra entièrement aux Saintes-Armées qu'il organisa pour en faire la ou l'une des plus grandes armées d'Occident.
Cesars avait sut se faire des amis ou des alliées des hauts-dirigeants des Ordres. Ainsi Kreuz devint l'interlocuteur privilégié de Cesars ainsi qu'un grand ami, la Grand Maistre des Hospitaliers était une disciple du neveu de Cesars : Aragoth, et Eckris Grand Maistre ad interim des Teutons devint un alliés puis amis de Cesars. Les ordres était la plus grande réussite de Cesars.
Toutefois Cesars ne voulut en pas en rester là. Il (re)créa donc le rôle honorifiques et prestigieux de Vidame. Ceux-ci n'urent pas un grand succès car les archevêques n'en voulait visiblement pas.
Mais Cesars n'est pas du genre à baisser les bras. Il lanca ou plus relanca la Garde Papale. Grâce Anirbas, son ami, la garde se dévellopa vite.

Pour remercier tout les brillants membres des Saintes-Armées, Cesars lanca donc "l'office militaire, dit Office d'Aragoth et Isenduil" de "l'ordre du mérite d'Aristote". Le premier membre ennoblit fut Sencha puis Kreuz et Anirbas furent ennoblit ensemble.

Chapitre IX : De la démission
Cesars ne supportait plus les couts bas de son principal rival, celui que Cesars surnommait l'incapable, gratte-papier, détestable et toujours absent : """Son Eminence""" frèrenico. Le dernier de ses couts-bas fut la volontés de faire déménager la Garde papale de ses beaux bâtiment pour des locaux insalubres. Son Eminence Nico obtint de la Curie la permission de la Curie de déménager la garde papale contre l'avis de Cesars. Mais cela n'a servit qu'à faire démissioner Cesars, en effet le détestables n'appliqua pas (au moins tout de suite) la décision de la Curie. Il devais estre trop occupé à gratter du papier, lui qui pensait que les ordres ne servait à rien.

Cette démission fut une bonne chose pour Cesars qui put enfin se consacré à la Diète
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